pierrecanislupus

mon musée virtuel

Mardi 7 décembre 2010 à 16:23

http://pierrecanislupus.cowblog.fr/images/lejourlepluslong.jpg  Le jour le plus long

C'est un film qui représente l'histoire du débarquement en Normandie plus précisement le debarquement du Pointe du Hoc, de Saint Mère Eglise et bien sur Omaha Beach . Ces un film américain et qui a été réalisé par Ken Annakin, Andrew Marton et Bernhard Wichi. Tous ces acteurs sont des acteur d'une nationalité différente l'un vient de la Grand Bretagne ,l'autre vient de l'Amérique et pour finir un qui lui vient d'Allemagne. Les acteurs principaux qui ont joué dans ce film sont: Johon Wayne, Henry Fonda, Richard Burton, Robert Mitchum, Curd Jurgens et Gert Frobe. Ce film a été créé avec un livre de Ryan et des mémoire des miraculés, il dure environ deux heurs trente et je permet de rajouté que ce film est un chef-d'œuvre que personne ne peut pas connaître.http://pierrecanislupus.cowblog.fr/images/debarquement.jpg

Mardi 7 décembre 2010 à 15:27

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La maison de l'école de Nancy:
 

En 1898, Louis Majorelle confie à l'architecte Henri Sauvage (1873-1932) l'élaboration des plans de sa maison personnelle à Nancy. La Villa Majorelle -ou Villa Jika, d'après les initiales de l'épouse de Louis Majorelle, Jeanne Kretz- est construite en 1901-1902 et occupe une place toute particulière dans l'histoire de l'architecture nancéienne. Première maison entièrement Art nouveau de Nancy, elle est conçue pour l'un des principaux artistes de l'Ecole de Nancy, Louis Majorelle, et résulte d'une parfaite collaboration entre artistes parisiens et nancéiens de renom.

Classée Monument Historique en 1996, la Villa Majorelle connait en 1999, une restauration partielle de l'extérieur qui permet aujourd'hui de mieux appréhender la richesse polychrome des matériaux utilisés par l'architecte. Prochainement, une réhabilitation plus complète du bâtiment -restauration et remise en situation de mobilier dans son cadre d'origine- fera de ce lieu Art nouveau une maison unique, témoin du lien très fort qui unissait sans distinction tous les arts.

La Villa Majorelle résulte d'une collaboration exceptionnelle entre artistes parisiens et nancéiens. Le commanditaire, Louis Majorelle, est l'un des principaux artistes de l'école de Nancy ; il est l'auteur du mobilier, des boiseries et des ferronneries de sa maison. La conception du projet est confiée à Henri Sauvage, jeune architecte et décorateur parisien dont c'est la première commande importante. Sont associés également à ce chantier le céramiste Alexandre Bigot (1862-1927), le peintre-verrier Jaques Gruber et les peintres Francis Jourdain (1876-1958) et, plus tardivement, Henri Royer (1869-1938). Lucien Weissenburge est chargé de l'exécution du chantier sur place.
J'ai choisit cette maison car elle me rapelle mon enfance.



 

Mardi 7 décembre 2010 à 15:08

One Ton in the Air de Dominika Skutnik (Frac):


  L’espace de la galerie est vide. Cette vacance est questionnée par les tentatives artistiques et curatoriales ainsi que par la présence même de ceux qui y pénètrent. Or, la sémiotique de l’espace de la galerie est complexe tant du point de vue émotionnel qu’intellectuel, il n’y a pas de rapport innocent avec lui. One Ton in the Air (2003) de Dominika Skutnik fonctionne à la fois dans l’espace et sur le corps de celui ou celle qui s’y aventure. L’œuvre provoque d’abord la stupéfaction en faisant rentrer entre les murs d’un espace relativement réduit une quantité énorme de matériaux de construction métalliques. Il s’agit d’une de ces choses à l’air décalé ou inapproprié qui ne devraient pas être là. La manière dont l’œuvre s’appuie contre le mur de la galerie crée une réelle tension à l’intérieur du lieu. Les murs du cube blanc sont sur le point de se fissurer, forcés de porter le poids inhabituel d’éléments d’échafaudage en extension. Mais cela fonctionne également en termes d’émotion comme une agression passive dans le cadre des relations entre ceux qui fabriquent, produisent, présentent et consomment l’art. Celui qui entre dans l’espace de la galerie n’est plus ici le regardeur ou le spectateur, mais participe plutôt à une relation spatiale, un rapport de puissance, une domination physique, un jeu psychologique. Dans le travail de Dominika Skutnik, on l’expérimente à ses risques et périls, bien que le danger nehttp://pierrecanislupus.cowblog.fr/images/beau1.jpg réside peut-être que dans l’imagination de chacun.
Son fonctionnement potentiel n’est pas visible. Nous ne pouvons même pas le sentir. Mais nous sommes conscients qu’elle pourrait avoir quelque effet sur le corps, sur la santé ou sur la pensée. Cependant, la connaissance de la présence réelle de ce champ nous vient de l’artiste, et nous devons lui faire confiance quant à la réalité de cette présence. Ceci crée une ambiguïté entre confiance et méfiance, entre crainte et courage. One Ton in the Air est visiblement lourd, mais ici encore le vrai poids n’est pas connu. Skutnik oblige le visiteur curieux à aller de l’autre côté de la pièce en passant sous la structure suspendue, pour voir ce qui se trouve de l’autre côté. Sa tactique est à la fois fondée sur la psychologie de la perception et fortement consciente – presque ironique – dans son commentaire sur les conditions spatiales de présentation de l’art. Cette installation révèlent une sorte d’étrange performativité de l’espace tout en laissant le spectateur indécis quant à la place qu’il y occupe. Son sujet va de la peur de l’espace de la galerie à l’aspect participatif de l’expérience esthétique, en passant par les émotions cachées que cela suscite. J'ai choisit cette œuvre car elle me semblais venir d'ailleurs,elle était très trouble à mes yeux.

Mardi 7 décembre 2010 à 15:00

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Radioactive Cats (frac):

Excluant toute manipulation a posteriori de l’image photographique, Sandy Skoglund réalise en studio un minutieux travail de mise en scène. Sans doute est-elle d’abord sculpteuse lorsqu’elle affirme, à l’encontre de nombreux photographes contemporains, que «l’image devrait être suffisamment forte pour transcender le média». Elle conçoit la photographie «comme une manière d’unifier des éléments aussi divers que disparates». L’iconicité brillante de ces grands cibachromes, Radioactive Cats (Chats radioactifs) et Revenge of the Goldfish (Revanche du poisson rouge), ne fait, au fond, que pérenniser l’onirisme sophistiqué de deux installations. Pour élaborer ses savantes prises de vue, Sandy Skoglund élabore une scénographie réaliste où prennent place, en situation, des modèles vivants ainsi qu’une profusion de figurines en terre cuite, modelées par l’artiste elle-même, et peintes de couleur vive : 28 chats verts. Le animal factice semble pourvu d’un pouvoir sur naturel ; leur prolifération improbable envahit la totalité de l’espace domestique comme dans ces films fantastiques dont Sandy Skoglund ne cache pas que qu’ils constituent pour elle une source d’inspiration. Bizarrement, les humains restent indifférents à cette intrusion saugrenue. La cuisine des vieillards reflète un univers mortifère auquel la radioactivité, contenue dans le titre, confère une connotation sinistre et angoissante. J'ai choisit cette œuvre car les chats me semblaient dominer sur l'homme.Et que ces hommes ne pouvaient rien faire, ils devaient rester là les regarder.

Mardi 7 décembre 2010 à 14:55

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La cible de Jan Saudek (Frac):

Longtemps les images de Jan Saudek n’eurent pas le don de plaire au pouvoir tchèque. L’homme fut persécuté. Son obstination à poursuivre la photographie l’a donc conduit à construire un vocabulaire unique, à la fois journal intime et grand récit initiatique. La Cible (Mort d’un soldat) appartient à cette veine d’œuvres composées en séquences d’images, plus ou moins narratives. Ici, le dépouillement le plus absolu et la terrible conclusion de la mort renvoient évidemment aux soubresauts de l’histoire de son pays mais aussi à l’impossibilité de la photographie à enregistrer autre chose que des signes, des vagues apparences comme en atteste la dernière image de la série. Cette figure lentement conduite vers la disparition n’est déjà plus qu’une ombre. Les autres images, plus sophistiquées, ont pour origine commune la représentation de la femme, à la fois objet de désir et figure symbolique jouant tour à tour divers rôles dans un décor à l’esthétique baroque soigneusement mesurée. J'ai choisi cette œuvre car la vie d'un soldat me semblait confuse et je trouvait que tous le monde doit ou devrait la connaître, pour ne pas faire les mêmes erreurs.

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